
En 1899, dans son étude sur le brigandage dans les Basses-Alpes, l’abbé Maurel insiste sur le drame qui, en cette fin de l’année 1799, a frappé la maisonnée. Il a d’ailleurs accès à des documents qui lui permettent, écrit-il, de connaître le nom d’au moins un des criminels et les circonstances de son arrestation. De son côté, le ministre de la Police générale est choqué par le niveau criminel atteint, il s’étonne auprès du commissaire central des Basses-Alpes – c’est le représentant du gouvernement, une fonction qui disparaît...
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