
La mort a ses coutumes dont certaines sont encore pratiquées de nos jours. Dès que le dernier soupir emportait l'âme d'un agonisant, on arrêtait le travail (les tâches indispensables comme les soins à donner au bétail étaient prises en charge par des voisins), puis on fermait les fenêtres, on voilait les miroirs avec des nappes blanches, on éteignait le feu dans la pièce et on arrêtait les pendules. Puis le mort était vêtu de ses plus beaux habits, souvent le costume de son mariage qu'il n'avait remis qu'à l'occasion de baptêmes....
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